«C’est l’explosive question du rôle accru du secteur privé. On n’en sort pas. Il n’y a pas de machine à imprimer de l’argent au gouvernement.
Il vaut mieux, me semble-t-il, faire face à la réalité de l’émergence rapide du privé, y voir une source d’oxygène bienvenue, et l’encadrer correctement, plutôt que de le nier et de le laisser proliférer anarchiquement.» (Joseph Facal)
Monsieur Facal, d'où vient le personnel du domaine privé ? Ouvrir les valves du côté privé ne fera qu'enlever médecins et infirmières des hôpitaux publics. Il y a environ 30% de la population qui peuvent se payer un médecin dans une clinique privée. C'est très bien, mais 70% de la population moins nantis feront face à une plus grande pénurie du personnel hospitalier dans le public.
En fin de compte, le privé ne règle rien.
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