La pause opinion - archivesAccueil    

Opinions - archives - 2021


2024, 2023, 2022, 2020, 2019, 2018



En santé, le privé n'est pas le démon
(Richard Martineau, JdM, 4 septembre 2021)


4 septembre 2021
« Monsieur O’Toole croit à un système de santé à deux vitesses, a tonné avec horreur Justin Trudeau. Il a dit que le secteur privé devrait jouer un plus grand rôle ! Rassurez les Québécois, dites-leur que vous ne voulez pas plus de privés dans le système de santé ! »

Il y a des riches qui peuvent se permettre de payer au privé en plus de payer l'assurance maladie par les impôts. Les riches qui se dirigent vers le privé libèrent des places au public. Le secteur privé est limité par le nombre de clientèles potentielles (les mieux nantis). Il n'y a pas de raisons de s'inquiéter des médecins qui quittent le public pour le privé. Le point de saturation subviendra lorsque le nombre maximum de clients riches sera atteint.

Si vous pouvez payer 100 $ au restaurant, vous pouvez vous permettre un rendez-vous en clinique privée. Le service est immédiat et du coup, vous libérez une place à l'urgence.







Quart d'heure quotidien


 Mentions légales, information sur les cookies