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Opinions - archives - 2021


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L’échec planifié de la loi 96
(Thomas Mulcair, JdM, 1er octobre 2021)


1er octobre 2021

«Il y a une autre chose qui est garantie, si le Québec réussissait à diminuer ces obligations, les Franco-Manitobains verraient aussitôt leurs droits similaires susceptibles d’être attaqués.» (Thomas Mulcair)

Ce serait tout à fait mormal. Le Manitoba est une province anglophone avec une minorité de francophone. Le bilinguisme est une utopie de P.E.T. Je me répète : il y a huit provinces de langue anglaise, une bilingue (Nouveau Brunswick) et une francophone (Québec).

«Le projet de loi 96 enfreint notamment l’article 133 de la Loi constitutionnelle de 1867, qui protège l’égalité du français et de l’anglais dans le processus législatif et devant les tribunaux au Québec.»

Sérieusement ? Alors dites-moi sans rire que la Colombie-Britannique, l'Alberta, le Manitoba, la Saskatchewan, l'Ontario et les quatre provinces maritimes protègent l'égalité du français et de l'anglais.

Je suis francophone québécois et 100 % fédéraliste. Si un anglophone me demande une information, je me fais un plaisir de luir répondre dans sa langue, mais si un employé d'un restaurant ou d'une boutique me parle en anglais, alors je quitte l'endroit, sans obsitination, sans un mot.

Par contre, je suis tout à fait d'accord qu'un employé réponde dans la langue du client (français, anglais, espagnol...). Je suis donc d'accord avec la formule d'accueil «Bonjour, Hi» qui n'est qu'un moyen de connaître la langue du client et une excellente façon d'accueillir les touristes, à moins que les séparatistes ne veulent pas de touristes.







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