- Campagne 2016 : Promesse phare de sa campagne : « construire un mur le long de la frontière sud des États-Unis » pour contrer l'immigration illégale. Un mur, assure-t-il, qu'il fera payer au Mexique. Le Mexique n'a rien payé.
- Campagne 2016 : La « fermeture totale » des États-Unis à tous les musulmans qui voudraient y entrer. À la fin de son mandat, les immigrants musulmans continuaient toujours à entrer et s'installer aux États-Unis.
- 2025 : Dieu l'a « sauvé » d'une tentative d'assassinat pour qu'il « rende sa grandeur à l'Amérique ». Une foi qu'il « ressent beaucoup plus fortement » désormais, allant jusqu'à affirmer que les Américains ne peuvent pas « être heureux sans religion ».
- Le 25 janvier 2025, Trump avançait l'idée d'envoyer les Palestiniens en Jordanie et en Égypte afin, selon lui, de « faire le ménage » dans le territoire palestinien. Le 30 janvier, Trump dit que l'accueil par la Jordanie et l'Égypte de Palestiniens déplacés se fera. « Nous faisons beaucoup pour eux et ils vont le faire ». Finalement le 13 mars 2025, Donald Trump affirmait que personne n'expulserait les Palestiniens de la bande de Gaza.
- Trump annonce sa vision « phénoménale » pour la bande de Gaza, complètement ravagée par la guerre: « prendre le contrôle » du territoire palestinien et en faire la « Riviera du Moyen-Orient. »
- Trump s'est vanté que des dizaines de pays l'avaient appelé pour négocier. « Pour lécher le cul » des États-Unis, selon ses propres mots.
- La raison d'être de l'Union européenne? « Entuber » les États-Unis, selon Trump.
- Trump a maintes fois répété son envie de faire du Canada le « 51e État américain ». Il ne s'est pas arrêté là: « Il nous faut » le Groenland et « nous allons reprendre » le canal de Panama.
- En campagne, Donald Trump avait promis de « mettre fin au délire transgenre ». Il a ensuite signé des décrets pour empêcher les personnes transgenres de servir dans l'armée.
- Donald Trump a multiplié les allusions à un troisième mandat, interdit par la Constitution américaine, déclarant même qu'il ne « blaguait pas » avec ça. Il y a « des méthodes » pour y parvenir, selon lui, comme être élu vice-président et que le président s'efface à son profit. Cela ressemble étrangement à ce qu'a fait Poutine.
- Pardonner aux émeutiers du 6 janvier. « Nous allons le faire très rapidement, et cela va commencer dès la première heure de mon entrée en fonction. »
- « Au premier jour de mon retour dans le bureau ovale, je signerai une série de décrets historiques visant à fermer notre frontière aux immigrants illégaux et à mettre un terme à l'invasion de notre pays. »
- « Nous sommes envahis par le Mexique. Je vais informer le Mexique le premier jour que s'ils n'arrêtent pas cette attaque de criminels et de drogues entrant dans notre pays, j'imposerai immédiatement un tarif de 25 % sur tout ce qu'ils envoient aux États-Unis d'Amérique. » La Chine, le Canada et l'Union européenne sont aussi touchés.
- Au lendemain de la victoire de Trump, sa porte-parole a prétendu qu'un « accord de paix entre la Russie et l'Ukraine » allait enfin pouvoir être mis en branle, sous la supervision de Trump.
- Trump voudrait priver les fonctionnaires fédéraux de leurs protections d'emploi. De plus, il vise aussi à convertir plusieurs milliers d'emplois gouvernementaux en emplois politiques offerts aux loyalistes du républicain.
- Trump a traité le président de la banque centrale « d'immense loser ». Ses virulentes critiques contre Jerome Powell ont donné lundi des sueurs froides à la Bourse de New York.
- Boeing, empêtrée dans des problèmes économiques, retarde à livrer deux nouveaux appareils à l’administration. Mécontent, Donald Trump avait suggéré en février que le nouvel avion présidentiel pourrait venir «d’un autre pays».
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Il manque encore plusieurs conneries passées et à venir de Trump dans cette page. N'hésitez pas à nous envoyer quelques ses perles ridicules. La seule condition est que votre perle sur Trump soit vérifiable sur Internet.